JUSQU’À NOUVEL ORDRE

Dans le contexte de la pandémie de COVID-19, suivons les consignes du gouvernement du Québec, notamment en ce qui a trait aux rassemblements extérieurs, qui sont désormais interdits.

Ils ne sont permis que si une distance minimale de deux mètres est maintenue entre l’ensemble des personnes, à moins qu’elles soient des occupants d’une même résidence privée.

De plus, il est demandé à toute personne d’éviter de se déplacer d’une région à l’autre ou d’une ville à l’autre, sauf en cas de nécessité.

C’est l’occasion de redécouvrir les oiseaux de nos cours et de délaisser des sites d’observation plus réputés.

Nous pourrons ainsi assurer notre santé en vue de la reprise de nos activités.

Bonnes observations!

En mars

En mars

Normalement, ce n’est qu’à la fin mars et au début avril que commence réellement la migration.

Le printemps semble déjà à nos portes alors que le redoux de février est venu fausser la donne.

Il nous faut continuer à suivre les alouettes et plectrophanes, mais plusieurs espèces migratrices nous honorent déjà de leur présence : pygargues à tête blanche, carouges à épaulettes, oies des neiges, bernaches du Canada… La liste s’allongera chaque jour en mars.

En janvier

Durant la saison froide, plusieurs espèces d’oiseaux ont besoin de notre aide pour survivre.

Si vous avez des mangeoires, n’oubliez pas de les remplir, car ce n’est pas tant le froid qui affecte les oiseaux que le manque de nourriture.

Bonne année à tous, avec des oiseaux plein la cour.

En décembre

L’hiver est bien installé à la suite des neiges abondantes de novembre.

Plusieurs oiseaux n’ayant pas eu le temps de s’envoler vers leur lieu habituel de migration, nous aurons encore la chance d’observer des espèces rares ou inusitées, tant lors de nos sorties qu’au Recensement des oiseaux de Noël, le 14 décembre prochain.

Pour connaître tous les résultats, n’oubliez pas le souper de Noël le 21 décembre.

 

En novembre

Les couleurs de l’automne s’estompent alors que les feuilles tombent, mais les passereaux qui restent seront plus faciles à voir. De belles découvertes nous attendent le long du Richelieu, qui accueille à cette période une variété impressionnante de canards en migration. On doit observer attentivement les bernaches du Canada et les oies des neiges, parmi lesquelles se mêlent parfois des oies plus rares, telles que l’oie rieuse, l’oie cendrée ou la bernache nonnette.

En octobre 2019

Le début du mois sera l’occasion d’admirer encore des passereaux en migration, spectaculaires dans le feuillage automnal. Vers la mi-octobre, on recherchera divers endroits le long de la rivière pour observer les différents canards, oies et autres. Ces dernières années, macreuses, hareldes et érismatures étaient au rendez-vous sur le Richelieu.

En septembre 2019

De plus en plus présents depuis la fin du mois d’août, les passereaux en migration nous enchanteront tout le mois de septembre, avant de s’envoler vers le Sud. Malgré leur plumage moins coloré, ils peuvent se révéler spectaculaires dans les arbres aux couleurs automnales.

En août 2019

Certains oiseaux regagnent tôt leurs quartiers d’hiver. Dès le début août, les limicoles sont déjà̀ en mouvement vers le sud. La rivière et les secteurs marécageux accueillent progressivement les canards. Vers la fin du mois, les passereaux en migration sont présents et il ne faut pas manquer de les observer, tant au ruisseau Hazen que dans les autres boisés de la région.

En juillet 2019

En juillet, la plupart des migrateurs n’ont pas encore entrepris leur périple vers le sud, mais l’occasion est idéale pour observer les espèces qui résident sur notre territoire et d’autres qui ont choisi de s’y établir le temps de la nidification. Bien des petits ont déjà quitté le nid et découvrent leur environnement, offrant un spectacle souvent mémorable. Il faut également garder l’œil ouvert pour les espèces rares qui viendront nous visiter.

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