En mars

Alors que la glace fait place à l’eau libre sur le Richelieu, les oies et canards seront de plus en plus nombreux. De belles surprises peuvent surgir parmi les canards colverts : Foulque d’Amérique, Canard pilet, Garrot d’Islande ou Fuligule à tête rouge. Le bassin du Pont Marchand ainsi que le bassin de Chambly sont des sites de prédilection.

En février

Février, un mois froid et souvent calme ornithologiquement. Il peut aussi être le mois des surprises selon les rigueurs de l’hiver. Un bon moyen d’observer les oiseaux consiste à leur fournir de la nourriture. Aussi, dans les champs agricoles enneigés, ouvrez l’œil pour observer non seulement les harfangs des neiges, mais de petits visiteurs non moins éblouissants, les alouettes et les plectrophanes.

En janvier

Durant la saison froide, plusieurs espèces d’oiseaux ont besoin de notre aide pour subsister. Les oiseaux aiment les conifères, qui peuvent servir d’abri contre le froid. Conserver son arbre de Noël peut contribuer à leur survie. Si vous avez des mangeoires, n’oubliez pas de les remplir, car lorsque ce n’est pas le froid qui affecte les oiseaux, c’est le manque de nourriture. Bonne année à tous, avec des oiseaux plein la cour.

En décembre

Comme chaque année, le Club invite les habitués du RON et les nouveaux membres à participer au Recensement des oiseaux de Noël (RON) du Haut-Richelieu qui aura lieu le 18 décembre prochain. Celui de Venise-en-Québec se tiendra le 14 décembre. Les prochains courriels contiendront tous les détails de ces deux journées qui sont parmi nos sorties les plus importantes de l’année. En raison de la pandémie, le souper qui suit notre RON n’aura pas lieu encore une fois.

 

En novembre

Les couleurs de l’automne s’estompent alors que les feuilles tombent, mais les passereaux qui restent sont plus faciles à voir. De belles découvertes nous attendent le long du Richelieu, qui accueille à cette période une variété impressionnante de canards en migration. On doit observer attentivement les bernaches du Canada et les oies des neiges, parmi lesquelles se mêlent parfois des oies plus rares, telles que l’oie rieuse, l’oie de Ross ou la bernache nonnette.

En octobre

Le début du mois sera l’occasion d’admirer encore des passereaux en migration, spectaculaires dans le feuillage automnal. Vers la mi-octobre, on recherchera divers endroits le long de la rivière pour observer les différents canards, oies et autres. Ces dernières années, macreuses, hareldes et érismatures étaient au rendez-vous sur le Richelieu.

En septembre

De belles surprises nous attendent durant les derniers jours de la saison estivale. La migration des passereaux est bien amorcée et, dès la mi-août, plusieurs parulines ont pu être observées dans la région. Le niveau des cours d’eau est bas et, encore cette année, les limicoles font un arrêt à la Baie-Mississquoi. Et surtout, ne manquez pas de participer aux 8 jours de septembre, du 5 au 12 septembre inclusivement.

8 jours d’observation – Un retour en 2021!

Bien populaire en 2020, le COHR répète l’expérience des 8 jours de septembre, une activité à laquelle les membres peuvent participer seuls ou en famille.

L’événement se tiendra du 5 au 12 septembre inclusivement. Chaque participant est invité à noter, sur le formulaire envoyé par courriel aux membres, toutes les espèces d’oiseaux observées sur le territoire du COHR pendant cette période de 8 jours.

Les observations seront compilées par Réal Boulet et Tristan Jobin et paraîtront dans le Pic Messager d’octobre. L’an dernier, 30 participants avaient observé un nombre incroyable de 142 espèces!!

Les membres sont priés de participer en grand nombre, tout en respectant les directives de la santé publique. Toutes les personnes soumettant une liste d’au moins 20 espèces feront partie d’un tirage avec prix de participation. Les détails sont à venir!

En août

Certains oiseaux regagnent tôt leurs quartiers d’hiver. Dès le début août, des limicoles sont déjà en mouvement vers le sud. La rivière et les secteurs marécageux accueillent progressivement les canards. Vers la fin du mois, les passereaux en migration sont présents et il ne faut pas manquer de les observer, tant au ruisseau Hazen que dans les autres boisés de la région.

En juillet

En juillet, la plupart des migrateurs n’ont pas encore entrepris leur périple vers le sud, mais l’occasion est idéale pour observer les espèces qui résident sur notre territoire et d’autres qui ont choisi de s’y établir le temps de la nidification. Bien des petits ont déjà quitté le nid et découvrent leur environnement, offrant un spectacle souvent mémorable. Il faut également garder l’œil ouvert pour les espèces rares qui viendront nous visiter.

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